Délicat comme la rosée d’une fraîche matinée d’été, Last Days of Summer raconte l’histoire d’amour impossible entre un évadé de prison et une mère dépressive.
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Délicat comme la rosée d’une fraîche matinée d’été, Last Days of Summer raconte l’histoire d’amour impossible entre un évadé de prison et une mère dépressive.
Les « gay movies » ont la côte en cette période d’évolution des mœurs, sans s’avérer à la hauteur. On en attendait déjà beaucoup plus de Ma vie avec Liberace. Suivi de Dallas Buyers Club, une déception inégale et rébarbative, ça commence à devenir lassant… voire inquiétant.
Philomena est un film gorgé de bons sentiments, qui évite de justesse la mièvrerie par son aspect subtilement tendancieux et son positionnement parfait entre le drame et la comédie.
Rien ne sert de courir… Ce vieil adage s’applique peut-être aux tortues mais qu’en est-il des escargots ? Voici le nouveau défi que se sont lancés les studios DreamWorks, grosse machine à sous capable de rendre populaires les limaces tenaces qui « protègent » nos jardins. Toujours pas convaincus ?
Après Humpday, Lynn Shelton renoue avec l’ironie, l’improvisation et la marginalité. Soit la garantie d’une recette « bien huilée ».
Comment s’approprier le célèbre roman de Yasmina Khadra, qui traite du conflit israëlo-palestinien, pour signer un film universel et personnel ? Réponse avec L’Attentat, du réalisateur libanais Ziad Doueri.
Hôtel Normandy respecte – à la lettre ! – les codes de la comédie romantique. Ce qui inclut de l’amour, de l’humour et, après quelques péripéties accessoires, un happy end forcé. En un mot, rébarbatif.
Joey Starr et Mathilde Seigner réunis derrière la caméra de Stéphanie Murat ? Ca donne Max, un film dans l’esprit de Noël, qui nous démontre que les couples les plus improbables peuvent se former.
Si l’on devait qualifier Lincoln par un mot, ce serait la retenue. Spielberg, grâce à des procédés simplistes mais néanmoins efficaces, parvient à retranscrire une ambiance sans doute fidèle à l’époque et peut-être davantage une réalité falsifiée avec facilité.
L’année 2013 se profile plutôt bien avec à l’horizon Le Monde de Charlie, un film à la fois léger et mélancolique qui traite, en se démarquant des traditionnels teen movies, du mal être adolescent.