Peu, voire pas, représenté dans le cinéma d’animation, le Mexique se fait une place au soleil dans ce conte plaisant mais parfois trop consensuel.
[mc4wp_form id="398"]
Peu, voire pas, représenté dans le cinéma d’animation, le Mexique se fait une place au soleil dans ce conte plaisant mais parfois trop consensuel.
Depuis quelques années déjà, le biopic musical est tendance, s’axant sur de grands noms comme Ray Charles ou plus récemment James Brown avec l’atypique Get on up. Et parmi toutes ces figures de proue, il y en a une que le cinéma a injustement boudé (du moins par le prisme de la fiction) c’est le grand Chet Baker.
C’est l’événement de la semaine : alors qu’on l’attendait la semaine prochaine pour accompagner un nouvel épisode d’Agents of S.H.I.E.L.D., voilà t-il pas que le trailer du très attendu Avengers : L’ère d’Ultron vient de débarquer sur la Toile. Un coup fourré d’Hydra ?
David Ayer délaisse les flics badass pour coller aux Rangers de soldats lachés dans un territoire tout aussi hostile et encore plus impitoyable.
Rebondissement dans l’affaire de la version live de Ghost in the Shell. Alors que l’on pensait Margot Robbie (Le Loup de Wall Street) favorite pour incarner le rôle principal dans cette très redoutée adaptation du chef d’œuvre de Mamoru Oshii, on apprend que Dreamworks aurait finalement offert le rôle à Scarlett Johansson.
Pour leur premier film américain, Navot Papushado et Aharon Keshales, réalisateurs du mordant Big Bad Wolves, ont été débauchés pour réaliser un remake. Jusqu’ici rien que de très commun , cette pratique étant monnaie courante Outre Atlantique. Ce qui est plus singulier en revanche réside dans le choix du film remaké.
Gal Gadot ne compte pas s’enfermer dans le rôle de Wonder Woman, loin de là. Si on risque de la voir dans la peau de la belle Amazone pendant un long moment, l’actrice a bien d’autres projets en tête.
Face au mastodonte Marvel, mieux vaut une offensive de taille ! C’est ce qu’à dû se dire hier Warner qui a dévoilé ses plans pour le DC-Verse jusqu’en 2020. Au programme : des surprises (pas mal) mais aussi la confirmation de rumeurs qui circulaient depuis un moment.
Gregg Araki retourne dans sa zone de confort dans ce qui pourrait s’apparenter à un best of light de ses œuvres. Décevant.
Liam Neeson serre la mâchoire mais ne casse (presque) rien dans ce film noir aussi grisant sur le papier que frustrant à l’image.