Critique : 13 Hours

Quinze ans après Pearl Harbor, le réalisateur des Transformers revient au véritable film de guerre bien qu’il n’ait jamais quitté visuellement ce genre. S’il n’y a pas de robots en vue, les six hommes dépeints ici s’en rapprocheraient presque au fur et à mesure du terrible siège auquel ils devront faire face durant 13 heures